OUVERTURE DES LIGNES DE LA SOTRA À ANYAMA REACTION DES SYNDICATS

Quelques jours après l'ouverture des lignes de bus de la SOTRA à Anyama, des rumeurs ont laissé entendre le mécontentement des acteurs du transports d'Anyama. Pour en savoir plus nous avons  rencontré l'un des syndicats de La place à savoir le Syndicat National des Transporteurs Terrestre de Côte d'Ivoire (SYNTTCI) en personne de Monsieur DOUMBIA Adama.

AKADAN MAGAZINE : Mr DOUMBIA Adama bonjour !
DOUMBIA Adama : bonjour Monsieur
AKADAN MAGAZINE : Certaines indiscretions dans la ville font état du mécontentement des syndicats face à l'ouverture de deux lignes de bus en circulation en ce moment de la sotra. Qu'en est-il exactement. ?
DOUMBIA Adama : Noooonnn pas du tout!! Cela fait parti du développement et permettra de désengorger le transport parce que nous ne pouvons pas transporter tout le monde. Et puis.... Rire... la majeur parti des passagers de la SOTRA reste en station debout pendant le voyage. Nous nos passagers  sont assis. Tout compte fait cela fera gagner du temps aussi aux travailleurs pour rentrer à temps à la maison.
AKADAN MAGAZINE : Il parait également que la gare ou vous exercé est la propriete de la SOTRA. Vous comfirmez ces dires?
DOUMBIA Adama : effectivement nous sommes locataire, mais c'est l'Etat qui nous a mis là. En cas de besoin nous ne pourons que ceder l'espace à la SOTRA.
AKADAN MAGAZINE : pour aller ou?
DOUMBIA Adama : là où l'Etat voudra bien.
AKADAN MAGAZINE : Après quelques jours d'exercice de la SOTRA comment se porte vos activités ?
DOUMBIA Adama :pour l'instant notre rendement reste le même. Nous verrons à l'avenir ce que cela va donner.
AKADAN MAGAZINE : les passagers de votre ligne YOPOUGON -ANYAMA se plaignent il y a un  bon moment de la conduite de vos chauffeurs. Quelles dispositions avez vous prise pour palier à ça ?
DOUMBIA Adama : nous demandons au clients d'être indulgents. Nous nous y attelons.
AKADAN MAGAZINE : quels sont vos souhaits pour l'amélioration du secteur?
DOUMBIA Adama : Nous souhaitons que le gouvernement nous aide à réguler nôtre milieu. Surtout la formation des differents acteurs.
AKADAN MAGAZINE :   MR DOUMBIA Adama, merci.

SADES (Akadan magazine)