Le vendredi dernier, le centre social d'anyama a été pris d'assaut par de nombreuses familles qui en sont réparties les mains chargées !
En effet, connu pour son dynamisme en matière de charité à l'endroit des couches sociales vulnérables, le PN-OEV ( entendez Programme National de prise en charge des Orphelins et autres Enfants rendus Vulnérables du faite du VIH SIDA ) s'est illustré une fois de plus dans la cité de la cola.
Monsieur KOUAME RÉMY, tête de file d'une modeste délégation, est venu, les mains chargées de vivres et non vivres, au centre social d'anyama.
Assis aux côtés de la responsable du centre en l'occurrence madame BLA AGATHE, l'homme s'est voulu claire dès l'entame de la cérémonie débutée à 14 heure: << nous sommes mis en mission par le ministère de la femme, de la famille et de l'enfant. Le PN-OEV travaille sous tutelle de ce ministère. Ici à Anyama, le soin revenait à la responsable de ce centre de faire la liste des personnes à aider aujourd'hui. Alors, chers invités, chacun aura son lot>>.
Bien avant lui, madame BLA AGATHE qui a dit le mot de bienvenue à la délégation et aux populations, laissait entendre : << le centre social est un refuge. C'est votre refuge. Nous faisons des efforts pour soulager les familles en difficulté. En ces moments difficiles, nos amis du PN-OEV ont posé un acte salutaire. Le centre social leur dit merci. Nous saluons également le ministère pour lequel monsieur KOUAME RÉMY et ses collaborateurs travaillent. Merci à la ministre LY RAMATA. Les dons-ci arrivent à point nommé d'autant plus que la commune a connu récemment des dégâts liés aux pluies diluviennes en plus du COVID 19 qui restreint les activités>>.
Précisons qu'à la suite de l'émissaire du PN-OEV et de la responsable du centre social, le micro est passé respectivement aux mains de la représentante de la mairie en l'occurrence madame OLLIA et de monsieur GBENASSI TRA GILBERT, président des Personnes âgées d'anyama. La première a salué, au nom du Maire, la démarche de la PN-OEV et le second a signifié la joie des familles bénéficiaires et souhaité que pareilles actions se multiplient pour le bonheur des nombreux pères et mères de familles qui peinent à vivre à Anyama.
IGOR Diarrassouba (Akadanmagazine)
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